Cette étude nous a permis de comprendre le fonctionnement d’une ruche. Les abeilles vivent et évoluent à travers une communauté très organisée. Elles se répartissent les tâches  à effectuer entre elles et chacune a une fonction spéciale au sein de la ruche. Cela entraine une forte cohésion qui rend plus précise la construction de la ruche. Mais, ce n’est pas le seul élément qui rentre en compte. Leurs divers moyens de communication permettent une construction solide et précise des alvéoles. Donc le fonctionnement organisé de la communauté conduit  à un lieu de vie très bien élaboré.

Leur travail à « la chaine » aboutit à la fabrication de la cire, qui est la base du gâteau de cire et donc de tous les rayons. Les alvéoles seront construites petit à petit par les bâtisseuses, de telle sorte qu’elles peuvent y évoluer et y vivre. Nous avons donc pu constater que les abeilles sont des géomètres très perfectionnés. En effet, elles sont capables de construire des alvéoles dont la forme est dite optimale. Nous avons pu montrer que la forme la plus optimale est la forme qu’elles utilisent, c’est à dire la forme hexagonale. Cette forme offre le plus petit périmètre pour une même aire, ce qui permet d’utiliser une quantité minimale de cire.

           Mais aujourd’hui, les abeilles sont en danger. Elles sont menacées par différents facteurs comme les pesticides, les pathologies et les prédateurs invasifs. En effet, certaines abeilles présentent une pathologie appelée varroase. Elle est causée par un acarien appelé Varroa destructor. On peut aussi ajouter l’agriculture intensive qui prive les abeilles d’une alimentation constante et variée. Un aggravement de ces facteurs entrainerait un fort déclin de ces insectes. Nous pourrions alors nous demander quelles conséquences aurait ce déclin dans le monde ?